
Parfois, la communication ados/parents/adultes peut coincer. Et elle peut tout aussi bien s’éclaircir en un clin d’œil ! Rien ne peut être plus imprévisible.
Tendre la main, changer d’angle, modifier la perception offre des possibilités miraculeuses.
Au fond, n’est-ce pas le questionnement de l’ado lui-même qui cherche à se connaître et à comprendre le monde extérieur qu’il serait intéressant d’aborder ?
Quand tout devient flou et douloureux, il est certainement opportun d’aller chercher de l’aide auprès d’un tiers. Nettoyer le superflu pour faire peau neuve.
Vers qui se tourner quand l’ado est en difficulté ?
On a souvent par facilité ou réflexe la tendance de questionner autour de soi. Ainsi, on va échanger avec d’autres adultes de la famille, d’autres parents de l’école, ou des amis.
On va ainsi récolter de nombreuses expériences et une multitude de conseils pas toujours ou rarement adaptés.
Oui, en effet, c’est un peu comme les médicaments, ce qui nous convient n’est pas forcément bon pour notre voisin !
Et surtout ça permet l’ajout de plus de rancœur et de jugements comparatifs…

Vers un professionnel de l’accompagnement !
Contacter une tierce personne dans un cadre précis et structuré peut être tout à fait favorisant.
Pour le choisir, faites confiance à votre instinct, votre ressenti lors de votre premier contact.
Posez des questions. Venez avec des objectifs.
Et surtout, obtenez l’aval de l’ado, le pousser ne fonctionnera pas. Il est fondamental qu’il soit proactif.
Le bénéfice primordial est sans aucun doute que le praticien intervient en toute neutralité bienveillante pour le seul confort de l’ado, et espérons-le, par conséquent de ses parents.
Et d’ailleurs, oui que les parents s’apprêtent aussi à être bousculés, éventuellement.
S’accrocher seulement aux notes, ou aux seuls critères de Parcoursup, il pourrait y avoir déception.
Un ado peut avoir envie de se tourner vers un cursus professionnalisant, vers une année de césure, vers un emploi immédiat. Ou vers une matière que les parents ne connaissent pas ou rejettent a priori.
Ici, on vient pour questionner, débroussailler, pas imposer à nouveau !
Avec l’appui de l’Hypnose et du Coaching,
On offre à l’ado de découvrir les mécanismes de protection inscrits inconsciemment tout au long de son parcours.
Il va pouvoir nettoyer, déblayer tout ce qui ne lui appartient pas, ce qui ne lui convient plus.
Transformer ce qu’il a mis en place et qui est obsolète, sans jugements. Et ainsi faire apparaître ce qui l’attire, même si bien sûr, on ne cherche pas absolument à trouver le métier exact.
C’est possible, cela ne doit pas être un résultat garanti.
Ici, il est question d’éclaircir le terrain pour que les graines du nouveau puissent germer.
Comment faire pousser les nouvelles expériences sur un sol rigide et aride ?
Ainsi, on va favoriser l’éclosion des talents, compétences, capacités de la personnalité créatrice de l’ado.
En quelque sorte, réinviter les ressources cachées pas exploitées, et même non perçues.
On ne pose pas de jugement sur ce qui est mieux socialement, plus tendance, a priori plus rémunérateur.
On invite l’essence fondamentale de la personne à prendre sa place. Et se construire depuis ce cœur.
Avec cœur et bienveillance.
Et si la clé ici à offrir à l’ado serait d’apprendre à s’aimer ?
Et si ce qui importe est de trouver ce qui résonne dans le cœur de l’ado, car la motivation seule de l’argent ou de l’apparence sociale n’est pas ce qui crée la réussite d’une personne ?
Aimer son métier, se lever tous les matins avec la joie d’accomplir notre rêve est un cadeau d’une puissance inestimable et c’est alors seulement que la joie et le bonheur seront au rendez-vous.

« La réussite n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé de la réussite. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez. » — Albert Schweitzer
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. » — Confucius
« Le seul moyen de faire du bon travail est d’aimer ce que vous faites. Si vous n’avez pas encore trouvé, continuez à chercher. Ne vous contentez pas. » — Steve Jobs